Job

Périsse le jour où je suis né, et la nuit qui dit : un enfant mâle est conçu.
Il naquit sept fils et trois filles.
Et cet homme était le plus considérable de tous les fils de l’Orient.
SATAN : Est-ce de manière désintéressée que Job craint Dieu.
L’Éternel a donné et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni.
Car ils voyaient combien sa douleur été grande.
Pourquoi ai-je trouvé des genoux pour me recevoir, et des mamelles pour m’allaiter.
ELIPHAZ : L’homme naît pour souffrir, comme l’Éternel pour recevoir,
Il a eu l’audace de courir à lui sous le dos épais de ses boucliers.
Oh ! s’il était possible de peser ma douleur, et si toutes mes calamités étaient dans la balance !
Car les flèches du Tout-Puissant m’ont percé.
BILBAD : Car nous sommes d’hier, et nous ne savons rien, nos jours sur la terre ne sont qu’une ombre.
Prétends-tu sonder les pensées de Dieu, parvenir à la connaissance parfaite du Tout-Puissant ?
Un arbre a de l’espérance.
Je voudrais que mes paroles fussent écrites dans un livre, qu’avec un burin de fer, avec du plomb, elles fussent gravées dans le roc.
Si mon cœur a été séduit par une femme.
Si j’ai mis dans l’or ma confiance.
ELIHOU : En réalité en l’homme c’est l’esprit.
Ce n’est pas l’âge qui procure la sagesse.
Il parle par des songes, des visions nocturnes.
L’Éternel répondit à Job au milieu de la tempête.
Chasse-tu la proie pour la lionne, et apaises-tu la faim des lionceaux ?
Bouillonnant d’ardeur, il dévore la terre, il ne peut se contenir au bruit de la trompette.
Il n’y avait dans tout le pays d’aussi belles femmes que les filles de Job.
Job vit ses fils et les fils de ses fils jusqu’à la quatrième génération.
burin refusé pour la suite